• Concentration active, tonus sympathique engagé ;
• les muscles du dos et des jambes maintiennent l’équilibre, avec de fines vibrations des stabilisateurs ;
• le cortex visuel reste fixé sur un champ immobile ;
• la respiration est régulière ;
• état général : concentré, légèrement exalté.
• La fatigue commence dans les petits groupes musculaires ;
• le champ visuel se met à « flotter » — le cerveau perd le contraste ;
• la perception de l’échelle commence à se modifier ;
• le mur semble plus proche, presque respirant ;
• l’attention se fragmente, avec les premières oscillations entre « contrôle » et « automatisme ».
• Concentration active, tonus sympathique engagé ;
• les muscles du dos et des jambes maintiennent l’équilibre, avec de fines vibrations des stabilisateurs ;
• le cortex visuel est fixé sur un champ immobile ;
• la respiration est régulière ;
• état général : concentré, légèrement exalté.
• l’émoussement physiologique de la douleur s’installe (compensation par endorphines) ;
• le rythme respiratoire diminue, le corps passe en mode d’économie d’énergie ;
• la perception du temps se déforme — chaque minute semble s’allonger ;
• chaque contact de l’air sur la peau devient un événement ;
• émotionnellement — légère dépersonnalisation, sensation de « séparation » d’avec soi-même.
• la fatigue s’installe ;
• baisse d’énergie : les réserves de glycogène dans les muscles diminuent ;
• les yeux perdent la mise au point — une « adaptation visuelle » au champ statique s’opère ;
• la peau se refroidit, le pouls ralentit ;
• la psyché passe en mode de fond — le dialogue intérieur se réduit au minimum.
• le corps produit davantage d’opioïdes endogènes → une subtile sensation de calme ou de détachement ;
• la perception de la douleur diminue, mais une vibration musculaire devient plus marquée ;
• un état modifié de conscience apparaît : lenteur, phase hypnoïde ;
• l’attention semble se « dissoudre » dans l’espace environnant ;
• la psyché utilise ce mécanisme comme protection contre la surcharge des stimuli.
• le stress métabolique général s’accumule : le taux d’acide lactique dans les muscles est élevé ;
• sentiment d’étrangeté ;
• la respiration devient légèrement plus profonde — le corps tente de compenser l’accumulation de CO₂ ;
• la vision produit de subtiles pulsations lumineuses ;
• calme paradoxal — le corps fonctionne en pilote automatique, la conscience presque lucide.
• stade d’épuisement et d’adaptation simultané ;
• la douleur dans le bas du dos, le dos et les jambes est perçue comme émoussée ;
• état proche du méditatif ou du post-stress : sensation de vide, de fatigue, de clarté ;
• les yeux se remplissent de larmes — réaction purement physiologique ;
• aucune émotion, aucun sentiment d’accomplissement.